Rouen (76). Le maire Albertini lance sa campagne sur son nouveau blog
Pierre Albertini, maire de Rouen, soixante-deux ans, a ouvert un nouveau blog pour lancer sa campagne en vue de briguer un second mandat.
Se situant politiquement comme un « centriste indépendant » n'appartenant plus à aucun parti (ce qui le met en principe à l'abri des luttes « fratricides » qui font rage actuellement à droite comme à gauche), il dresse un bilan de son action depuis 2001 à la tête de la capitale haut-normande.
À son actif, il revendique une « politique de développement et d’investissement », des « impôts locaux maîtrisés », de « nombreuses opérations d’urbanisme, rive droite et rive gauche », les quartiers des Hauts-de-Rouen et de Grammont qui « ont plus changé en trois ans qu’en trente ans », les quais qui « avec leurs hangars réhabilités, sont des lieux d’animation et de loisirs et changent le regard sur [la] ville. »
Albertini note aussi que la population de Rouen « augmente à nouveau, à la différence des autres villes normandes », que « la création nette d’emplois [y] est positive depuis quelques années » et que « de toutes les grandes agglomérations, Rouen est aujourd’hui la plus sûre. »
Au passif, il reconnaît que « la propreté et la circulation sont à améliorer, les services de proximité doivent être développés, le contournement routier de l’agglomération est à engager dès l’achèvement du pont Flaubert. Enfin, la protection de l’environnement et la participation des habitants doivent être au cœur de l’action municipale à venir. »
Contrairement à beaucoup d'autres élus, Albertini a choisi de ne plus exercer qu’un seul mandat : « Le temps du cumul est désormais révolu. Les responsabilités confiées aux maires des grandes villes exigent une liberté et une disponibilité totales », précise-t-il.
Il promet de conduire une liste « ouverte et pluraliste [avec] des sensibilités politiques différentes, de la gauche européenne à la droite républicaine. »
Reste qu'il faudra attendre janvier prochain pour connaître officiellement cette liste et surtout le programme détaillé et chiffré de « Rouen 2008 ».
Se situant politiquement comme un « centriste indépendant » n'appartenant plus à aucun parti (ce qui le met en principe à l'abri des luttes « fratricides » qui font rage actuellement à droite comme à gauche), il dresse un bilan de son action depuis 2001 à la tête de la capitale haut-normande.
À son actif, il revendique une « politique de développement et d’investissement », des « impôts locaux maîtrisés », de « nombreuses opérations d’urbanisme, rive droite et rive gauche », les quartiers des Hauts-de-Rouen et de Grammont qui « ont plus changé en trois ans qu’en trente ans », les quais qui « avec leurs hangars réhabilités, sont des lieux d’animation et de loisirs et changent le regard sur [la] ville. »
Albertini note aussi que la population de Rouen « augmente à nouveau, à la différence des autres villes normandes », que « la création nette d’emplois [y] est positive depuis quelques années » et que « de toutes les grandes agglomérations, Rouen est aujourd’hui la plus sûre. »
Au passif, il reconnaît que « la propreté et la circulation sont à améliorer, les services de proximité doivent être développés, le contournement routier de l’agglomération est à engager dès l’achèvement du pont Flaubert. Enfin, la protection de l’environnement et la participation des habitants doivent être au cœur de l’action municipale à venir. »
Contrairement à beaucoup d'autres élus, Albertini a choisi de ne plus exercer qu’un seul mandat : « Le temps du cumul est désormais révolu. Les responsabilités confiées aux maires des grandes villes exigent une liberté et une disponibilité totales », précise-t-il.
Il promet de conduire une liste « ouverte et pluraliste [avec] des sensibilités politiques différentes, de la gauche européenne à la droite républicaine. »
Reste qu'il faudra attendre janvier prochain pour connaître officiellement cette liste et surtout le programme détaillé et chiffré de « Rouen 2008 ».