Le boomerang contre Sarkozy gêne certains élus normands
Les vitupérations sarkozystes ne semblent pas avoir réussi à contaminer la Normandie, pays traditionnel de la mesure électorale (ou du « p’têt’ ben qu’oui, p’têt’ ben qu’non » ?). Même au sein des élus UMP normands où l’on apprécie peu les excès, l'enthousiasme pour le patron-candidat reste parfois, en privé, pour le moins mesuré et un petit peu gênant aux entournures. Quoi qu'il en soit, des antivirus existent comme celui-ci que nous vous proposons de voir. Au cas où…
C’est évidemment directement copié sur les procédés made in USA. Et aussi contestable à nos yeux, même si la juxtaposition des exemples ne fait pas appel à la manipulation des documents. Mais Sarkozy n’a ici que l’effet boomerang de son admiration déclarée pour les méthodes plus ou moins ragoûtantes importées de certains États d’outre-Atlantique, où l’on trouve le pire et le meilleur. Il s’est d’ailleurs adressé à la presse américaine en disant (vous l’entendez en V.O. dans le vlog) : « Amis journalistes, appelez-moi Sarkozy l’Américain ! » (c’était avant la déculottée électorale de Bush qu’il avait rencontré en se faisant photographier sur une marche, ce qui le mettait « à la hauteur » de son idole, à la Maison-Blanche).
À titre d’information, voici donc ce vlog amusant et corrosif qui a été si peu médiatisé depuis sa diffusion en septembre (par rapport à d’autres) que cela justifie une fois de plus, s’il en était besoin, les accusations de connivence médiatico-politque portés par Bayrou le mois dernier.
C’est évidemment directement copié sur les procédés made in USA. Et aussi contestable à nos yeux, même si la juxtaposition des exemples ne fait pas appel à la manipulation des documents. Mais Sarkozy n’a ici que l’effet boomerang de son admiration déclarée pour les méthodes plus ou moins ragoûtantes importées de certains États d’outre-Atlantique, où l’on trouve le pire et le meilleur. Il s’est d’ailleurs adressé à la presse américaine en disant (vous l’entendez en V.O. dans le vlog) : « Amis journalistes, appelez-moi Sarkozy l’Américain ! » (c’était avant la déculottée électorale de Bush qu’il avait rencontré en se faisant photographier sur une marche, ce qui le mettait « à la hauteur » de son idole, à la Maison-Blanche).
À titre d’information, voici donc ce vlog amusant et corrosif qui a été si peu médiatisé depuis sa diffusion en septembre (par rapport à d’autres) que cela justifie une fois de plus, s’il en était besoin, les accusations de connivence médiatico-politque portés par Bayrou le mois dernier.